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Alice, racée et stylée

Arthur Bonnet créé indéniablement l’évènement de cette rentrée avec Alice, sa nouvelle cuisine de la collection Signatures dessinée par le designer français, Christian Ghion. L’occasion pour la marq

Alice ne laissera personne indifférent et devrait rencontrer son public, à Paris comme en province, à l’instar de l’accueil enthousiasmant que lui ont fait les concessionnaires Arthur Bonnet et la presse spécialisée. Alice est Française, certains diront Parisienne, mais elle est surtout loin des courants minimalistes aseptisés et linéaires. Elle s’installe dans la maison, ouverte sur le salon, elle s’y invite avec des meubles de complément, une table basse, une enfilade ou encore un vaisselier. Alice nous offre une ligne au charme chic et élégant, rien d’ostentatoire dans les formes et les tons, mais une harmonie toute féminine. « Il m’a fallut imaginer une cuisine qui exprime sa différence avec personnalité, tout en étant cohérente avec les réalisations Arthur Bonnet de mes confrères », souligne, Christian Ghion.
Le principe de base d’Alice, ce sont trois éléments clés classiques, propres aux meubles français, qui, revisités, font toute la différence. Les pieds traités façon Louis XV sont nettoyés et destylisés pour ne laisser qu’une arrête arasée et une ligne courbe fluide et élancée. Utilisés avec parcimonie en différentes hauteurs, ils viennent porter d’un côté le plan de travail en îlot et la table en prolongement. La corniche, ce petit détail qui anoblit habituellement une façade ou le haut d’un meuble, est là encore épurée et vient couronner tout le plan de travail de l’îlot. Sa douceur d’inclinaison apporte au modèle un fini couture, léger et pertinent à la fois. Enfin les poignées, situées en partie haute,s’inspirent du principe de la grande barre d’inox du piano de cuisson qui isole du foyer et offre une accroche pour les ustensiles. Epurées et linéaires, elles allègent la structure tout en facilitant l’accessibilité et l’ouverture des meubles hauts. A l’inverse, c’est en creux que le designer a choisi d’ouvrir les meubles du bas, en dessinant de belles gorges profondes. Alice c’est aussi un choix de finitions, un vrai travail de partenariat entre Christian Ghion et Marc Moreau, responsable du design Arthur Bonnet. Une laque mate au toucher soyeux, dans un coloris Fleur d’Absinthe pour les meubles du fond et Vert Sauge pour l’ilot. L’ensemble est contrasté et illuminé par le plan de travail en verre noir miroir et le noir opaque de la table et des pieds. Les codes de bases imaginés par le designer, pieds, corniche et gorges douces, glissent de la cuisine vers ses dépendances et le salon, et sont utilisés pour d’autres éléments, à l’instar d’une enfilade rouge écarlate. On ne peut pas s’enthousiasmer sur Alice, sans parler de celui qui la conçue, le designer Christian Ghion. Un grand gaillard, au regard franc et sombre, au sourire ironique et généreux, maniant l’humour, et dont on n’imagine pas, à la première rencontre, qu’il puisse créer avec une telle finesse et sensualité. Et pourtant, l’artiste a conçu entre autre, un boudoir contemporain pour la boutique de Chantal Thomas, rue Saint-Honoré à Paris, aménagé la boutique de Jean-Charles de Castelbajac, décoré les restaurants du Chef, Pierre Gagnaire ou encore, créé plusieurs objets pour Dirade, Neotu, Forge de Laguiole, ou la tasse à café Premium de Nespresso.Les enjeux d’Arthur Bonnet
La marque doit sa réputation au design, à la qualité de ses produits, et aux conseils de ses concepteurs-vendeurs. Arthur Bonnet est rentrée dans l’univers du design grâce à sa ligne exclusive emblématique Signatures, et ambitionne d’incarner la marque française de cuisine, référente en design et décoration. Son offre est complète, avec un premium accessible, et sa ligne Collection, moins identitaire, mais plus personnalisable, surfant dans l’entrée de gamme. Mais dans un marché fortement concurrencé entre Spécialistes et Grande Distribution, la chute des mises en chantier en 2013 des logements neufs (-12%*), et les consommateurs frileux dans leurs achats, il faut créer de la valeur, comme l’explique Vincent Jung, Directeur d’Arthur Bonnet « Nos clients prospects font des arbitrages, l’enjeu pour nous, être au milieu de cet arbitrage et gagner la guerre de la préférence. Nous devons être dans le top 5 des marques consultées, être au cœur des visites. Cela demande des compétences et tout notre travail est de donner une valeur perçue à notre marque et une valeur émotionnelle ». Un travail qui passe par des compétences. Celles notamment des concepteurs-vendeurs, dont Arthur Bonnet souhaite qu’ils soient à 100 % formés en déco-design, autour d’un parcours de vente centré sur l’Atelier d’Arthur. Un plan de formation ambitieux, débutera à partir de décembre, il englobera aussi les directeurs de magasins, sur le management commercial dans un environnement déco-design.Développement du réseau
Comme évoqué plus haut, le marché de la cuisine subit les contrecoups de la situation économique française, alors qu’il fut l’un des moteurs du marché du meuble au cours de la décennie précédente*. Le secteur de la cuisine perd en valeur en 2013, soit -1,0%*, ce qui n’est pas le cas d’Arthur Bonnet, qui affiche un chiffre d’affaires de +3 % sur la période et une tendance de + 2 % sur 2014. Sur la partie export la marque présentait en 2013 une progression de + 1 %, mais devrait exploser en 2014 avec +12 %. Côté ouvertures, l’enseigne n’est pas en reste, avec six nouveaux magasins en 2013 et un objectif de 130, à fin 2018. Arthur Bonnet c’est aujourd’hui un parc de 97 points de vente en concession exclusive, avec 70 % de ses magasins situés en zone commerciale et 30 % en centre ville. Son positionnement premium lui assure un panier moyen de 13.000 € TTC, largement au-dessus du marché (6 500 €). Une stratégie de communication à la hauteur des ambitions
Pour y parvenir, la marque s’attèle à un véritable travail de fond, comme en témoigne le lifting de son logo avec sa nouvelle signature « En cuisine tout est affaire de goût » et sa nouvelle campagne d’image. « Nous puisons dans notre ADN, le chic du design français, pour lancer une nouvelle campagne, élégante et épurée, différente des publicités de cuisine. Nous allons commencer à communiquer autour d’Alice dès maintenant. Nous l’avons placé dans un décor extrêmement sobre, laissant ses teintes douces de verts s’exprimer, avec en premier plan un lustre majestueux. Cette campagne symbolise le regard d’Arthur Bonnet sur la cuisine», précise, Delphine Pochet-Lerible, responsable marketing consommateur et communication. Afin d’installer sa marque, Arthur Bonnet a prévu un plan de communication complet. En TV, en début d’année prochaine avec un spot autour du modèle Alice, un ciblage en presse vers des magazines de design et de décoration dès le mois d’octobre, et enfin, une refonte totale du site web. La marque fonde de grandes ambitions sur son site web qui s’architecture désormais sur plusieurs niveaux : la marque, les concessionnaires, le blog « Regard, sur le design et la décoration et le recrutement, avec une tribune animée par Vincent Jung. Un site clair et élégant, qui doit séduire les prospects et les diriger vers un point de vente.
« Nous nous sommes donné les moyens de faire d’Arthur Bonnet la marque qui remporte la préférence auprès du public. Et celle qui a tous les atouts en main, pour séduire et attirer ceux qui allient un haut niveau de professionnalisme avec une exigence élevée en terme de rentabilité« , déclare en conclusion, Vincent Jung.*Sources Ipea – HabitatScope 2015

Par La Rédaction

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