Notre site Web utilise des cookies pour améliorer et personnaliser votre expérience et pour afficher des publicités (le cas échéant). Notre site Web peut également inclure des cookies de tiers tels que Google Adsense, Google Analytics, Youtube. En utilisant le site Web, vous consentez à l'utilisation de cookies. Nous avons mis à jour notre politique de confidentialité. Veuillez cliquer sur le bouton pour consulter notre politique de confidentialité.

Que se cache-t-il dans les matelas des Français ?

Dyson a enquêté pendant 2 mois dans la pièce la plus confidentielle des Français :la chambre à coucher. Accompagnées d’un aspirateur Dyson V6 Mattress, les équipes Dyson se sont déplacées chez

Rapport d’étude globale :
La poussière récoltée a été analysée par le LERES, plate-forme d’analyse chimique et microbiologique de l’école des hautes études en santé publique (EHESP). Le résultat de ces recherches a conduit Dyson au plus profond des fibres du matelas…De matelas en matelas…
Allergies, écoulement nasal, difficultés respiratoires… Bon nombre de petits désagréments ont lieu dans la chambre à coucher, où le matelas est souvent présent depuis des années. Renouvelé environ tous les 12 ans, le matelas n’est que très rarement nettoyé. Pourtant, il abrite des milliers d’éléments vivants, parfois nocif pour l’être humain.
Pour comprendre précisément ce qui se cache à l’intérieur des matelas, Dyson a rendu visite à un petit échantillon de journalistes, à Paris et en proche banlieue. Les 15 personnes ayant accepté de se plier au test ont donc assisté à la procédure suivante:
Le matelas a été aspiré sur toute sa surface et pendant 5 minutes par l’aspirateur Dyson V6 Mattress. La poussière collectée
a été envoyée au laboratoire LERES afin d’analyser sa composition(1).Que sont vraiment les allergènes ?
Les allergènes sont des protéines qui induisent une réponse immunitaire chez les individus sensibles. On dénombre 5 principales sources d’allergènes dans l’habitat : les acariens, les moisissures, les animaux domestiques, les rongeurs, et les cafards.
L’allergène sur lequel s’est concentrée l’étude est l’allergène de l’acarien:
Les acariens se nourrissent de squames de peau humaine. Une humidité supérieure à 60 % est nécessaire à leur développement. Ils trouvent donc des conditions optimales dans les matelas et oreillers, où l’humidité
relative est suffisante grâce à la transpiration des personnes endormies.
Les personnes allergiques aux acariens sont en fait allergiques aux déjections d’acariens et à leurs fragments de carapace. Deux espèces d’acariens, Dermatophagoides pteronyssinus et Dermatophagoides farinae sont considérés comme les sources les plus importantes d’allergènes d’acariens. En raison de la proximité entre le matelas et les voies respiratoires lors du sommeil, la poussière du matelas est un milieu particulièrement pertinent pour estimer l’exposition aux acariens.(1) Le protocole d’analyse de la poussière : Les poussières recueillies ont été tamisées sur un tamis en acier inoxydable (maille 425 μm). 100 mg de poussière fine ont été remis en suspension dans 2mL de tampon PBS-Tween et agitées pendant 2h à 250 rotations par minute à température ambiante pour remettre en suspension les allergènes puis centrifugées. Le surnageant contenant les allergènes a ensuite été récupéré et conservé à -20°C jusqu’à l’analyse.L’analyse s’est effectuée par méthode ELISA (Enzyme Linked Immunosorbent Assay) dite « en sandwich », classiquement utilisée dans les laboratoires. Les anticorps et antigènes standards utilisés provenaient de kits commerciaux (Indoor biotechnologies, kits pour le dosage de Der p1, Der f1, Can f1 et Fel d1). Les dosages se sont effectués dans des microplaques de 96 puits. Un anticorps de capture a été fixé sur la micro-plaque (1 nuit à +4°C),
puis les échantillons à doser ont été déposés en duplicats à différentes dilutions. Les allergènes se sont fixés sur les anticorps de capture. Un anticorps de détection couplé à une enzyme qui se fixe spécifiquement sur l’allergène à doser a ensuite été ajouté, puis le substrat de l’enzyme
qui a généré une réaction colorimétrique. Elle a ensuite été quantifiée par spectrométrie à l’aide d’un lecteur de micro-plaques.
Les résultats de l’étude
Les allergènes d’acariens ont été détectés dans la majorité des matelas :

  • Dans 5 matelas, ils dépassent la quantité de 2μg d’allergène/g de poussière, qui est la valeur considérée comme seuil pour le déclenchement de pathologies de type allergique chez les personnes sensibles.
  • Dans 3 matelas, les échantillons présentent une concentration supérieure à 10μg d’allergène/g de poussière, valeur considérée comme seuil pour le déclenchement de crises chez les asthmatiques.

En moyenne sur les 15 échantillons de poussières récoltés, la moitié
présente donc une contamination importante en allergènes d’acariens.
Cette forte concentration présente un risque pour le développement
de pathologies allergiques (rhinites par exemple) mais aussi de crises d’asthme pour les personnes sensibles.
Des mesures d’éviction sont donc recommandées :

  • aspiration du matelas une fois par semaine
  • changement de la literie une fois par semaine
  • maintien d’une température à un maximum de 19°C,
  • taux d’humidité entre 40 et 55%

Il faut enfin préciser que les concentrations au-delà du seuil ne sont
à risque que pour les personnes sensibles.
Aspirer son matelas avec le Dyson V6 Matress
Bien qu’un matelas ne puisse jamais être débarrassé à 100% des acariens y résidant, les recherches des ingénieurs Dyson ont prouvé qu’une aspiration puissante et continue était la solution la plus efficace et la plus fiable pour réduire le nombre d’acariens dans le matelas.
Ceci est rendu possible grâce au moteur numérique V6, présent au coeur
de l’appareil et à sa brosse motorisée dotée de poils en fibres de carbone
qui permet d’aspirer en profondeur, dans les fibres du matelas. Conçu de façon hermétique, le V6 Mattress possède une filtration HEPA qui rejette un air plus propre que l’air ambiant.

Par La Rédaction

Articles qui peuvent aussi vous intéresser

×