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Pikolin veut reprendre les matelas Dunlopillo, et Cofel dans son intégralité

Placé en redressement judiciaire depuis le 18 décembre 2019, Dunlopillo – l’une des marques emblématiques de la literie française – attire les acheteurs pour une éventuelle reprise. Selon un article de notre confrère Les échos, le fabricant espagnol Pikolin a exprimé sa volonté de racheter la marque, en plus de vouloir reprendre 100 % du groupe Cofel (Epeda, Mérinos et Bultex).

Selon notre confrère L’Usine Nouvelle, sept offres préliminaires ont été déposées devant le tribunal de commerce de Paris pour la reprise du fabricant de literie Paris Bedding, détenteur de la marque de matelas Dunlopillo, placé en redressement judiciaire depuis le 18 décembre 2019.

Suite à cela, Les Echos ont dévoilé le nom de l’un des éventuels acheteurs, qui s’avère être le groupe familial espagnol Pikolin, réalisant 440 millions d’euros de chiffre d’affaires. Celui-ci a déposé une offre préliminaire début février 2020. Les arguments du groupe reposent notamment sur le fait qu’il exploite déjà la licence de la marque dans 47 pays.

Une reprise à 100% du groupe Cofel

Outre cette annonce d’une ampleur considérable, Pikolin a également annoncé vouloir reprendre dans sa totalité le Français Cofel (Bultex, Epéda et Mérinos), puisqu’il n’est actuellement propriétaire que de la moitié du groupe. » Pikolin est prêt à racheter 100 % de Cofel, dont la moitié du capital appartient au sud-africain Steinhoff « exprime Luis Flaquer, directeur général de Pikolin (citation émanant du magazine Les Echos).

C’est en juin 2016 que Pikolin avait décidé d’ouvrir son capital au sud-africain Steinhoff (50%), afin d’accélérer son développement à l’international. à présent, le moment idéal serait venu pour reprendre le contrôle de cette filiale, puisque la situation de Steihnoff est quelque peu compliquée, avec une perte d’exploitation de plus de 3 milliards d’euros et la perte de 32 de ses magasins Conforma cette année, ainsi que 1 900 suppressions de postes. Pikolin montre ainsi son intérêt grandissant porté vers le marché français de la literie.

Par Camille Borderie

Service de la rédaction Journaliste Univers Habitat, Faire Savoir Faire

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