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CAKE KITCHEN BOUSCULE LE MARCHÉ AVEC SES CUISINES A 1 000 € LE MÈTRE

Le premier magasin Cake Kitchen a été inauguré le 14 juillet au Westfield Parly 2 du Chesnay (78). 4 mois plus tard, le groupe FBD a ouvert les portes de cette unité test, dirigée par Sylvain Duvernoy, pour présenter les particularités du concept.

Un magasin de cuisines dans un centre commercial, c’est déjà atypique. Mais l’originalité est renforcée par le concept disruptif : un tarif unique intégrant meubles, électroménager, évier et robinetterie. 1 000 € le mètre linéaire, c’est le prix de Cake Kitchen (jusqu’au 31/12). » Cela peut surprendre. Mais une fois que le client a compris l’idée, il est ravi. Il trouve que ça vaut le coup et sait qu’il n’aura pas de surprise «, commente Loïc Paitel, président directeur général du groupe FBD.

Le choix est possible entre 35 caissons, une vingtaine de plans de travail et de crédences, environ 15 façades et 30 poignées. Le nombre d’équipements dépend de la longueur de la cuisine, le client pouvant choisir parmi plusieurs modèles de 8 marques. » Nous ne proposons pas d’upgrader quoique ce soit, cela romprait notre promesse. Notre offre est assez large pour satisfaire tous les besoins «, précise le pdg. Un « coin repas » peut être prévu en option. Un service de pose est proposé à 230 € le mètre linéaire, et la livraison à 340 €.

» Réduire l’effort client «

Parti d’une page blanche, le groupe FBD voulait adresser un nouveau segment de marché. Le cahier des charges ? Répondre aux nouvelles habitudes de consommation, intégrer la digitalisation, et proposer une approche prix transparente. » Nous avons cherché à réduire au maximum l’effort client «, assure Loïc Paitel, précisant que l’enseigne a été cocréé par des franchisés FBD et des consommateurs novices.

L’objectif est aussi d’attirer celles et ceux qui ne vont pas ou plus dans les magasins habituels. » 50 % des cuisines ne sont pas achetées chez un spécialiste. Notre cible est semblable à celles d’Ikea et Leroy Merlin : des gens en quête d’un bon rapport qualité/prix et d’une certaine autonomie. «

» Une qualité de cuisiniste «

Le concept se distingue toutefois des enseignes de distribution : » Nous proposons une qualité de cuisiniste, tant sur nos produits fabriqués et montés sur commande en Allemagne, que sur notre capacité de modularité et nos conseils et suivis. Chez Cake Kitchen, l’humain est au coeur du parcours client «, lance Jessica Duval, responsable marketing du groupe FBD. Chaque client échange avec un binôme d’experts composé d’un pilote de projet er d’un designer-cuisiniste.

S’ils peuvent se faire accompagner de A à Z, les clients sont aussi libres de travailler de façon autonome, grâce à une interface digitale innovante. » Nous leur faisons bénéficier d’un configurateur 3D précis et efficace, similaire à celui qu’utilisent nos conseillers «, indique le pdg.

Un deuxième magasin en 2023

Cake Kitchen, c’est aussi un univers de marque ludique et moderne, et une baseline détonante : « créer sa cuisine, c’est du gâteau ». Conçu comme un lieu expérientiel, le magasin de Parly 2 intègre des murs « concept » et « catalogue », une cuisine pour expérimenter les produits, et un « atelier de co-conception ». » Nous n’avons pas de stock, c’est un parti pris pour maintenir les prix «, précise Loïc Paitel.

Un 2e magasin pilote verra le jour en 2023, dans l’Ouest de la France. Le groupe se laisse 2 ans pour ajuster ce concept et proposer un modèle ultra-efficace aux futurs franchisés. Le déploiement sera alors rapide, dans des centres commerciaux et des centres-villes, mais pas sur des zones périphériques. Cake Kitchen n’a pas fini de bousculer les codes de la cuisine équipée.

Par Sabrine Moressa

Rédacteur(rice) magazine et web

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