Teract révèle le bilan du 1er semestre 2023-2024, avec une rentabilité accrue de la jardinerie/animalerie

Acteur majeur de la distribution responsable dans les marchés en croissance de la jardinerie, de l’animalerie et distribution alimentaire, Teract dresse le bilan d’un premier semestre 2023-2024 marqué par la forte progression sur le secteur de l’alimentaire et par l’amélioration de la rentabilité sur celui de la jardinerie/animalerie. Le distributeur conclut son exercice sur un chiffre d’affaires de 397,3 M€, avec une croissance de 11,2%. « Dans un contexte encore peu porteur au S1 2023-2024, Teract est au rendez-vous de ses engagements de croissance des ventes et de son EBITDA grâce à la performance de l’alimentaire mais aussi de la jardinerie/animalerie, qui bénéficie du développement de ses marques propres et de l’amélioration des coûts. Teract poursuit ses objectifs d’ouvertures de magasins, de développement dynamique de sa franchise, de ses marques exclusives et de son modèle digital », annonce Moez-Alexandre Zouari, directeur général de Teract.

Résultats du 1er semestre

Ce semestre est marqué par la consolidation du secteur jardinerie/animalerie, qui atteint un CA de 323,6 M€, soit une baisse de 3,7% par rapport au premier semestre sur la période 2022-2023 en données publiées. Ces chiffres s’inscrivent dans la stratégie de gestion du parc de magasins, avec le passage de 22 magasins intégrés en franchise. Le secteur alimentaire connu un CA consolidé de 73,7 M€, contre 21,3 M€ sur celui de 2022-2023.

Au cours de ce semestre, le groupe a poursuivi le développement de ses marques exclusives et innovantes. Celles-ci représentent 22,1% du chiffre d’affaires des magasins intégrés au 31 décembre 2023, ce qui équivaut à une hausse de 4 points par rapport au 31 décembre 2022. Teract a également profité de sa position d’acteur leader sur le marché de la jardinerie pour accélérer le développement du e-commerce avec notamment le lancement du site gammvert.fr.

Au 31 décembre 2023, le groupe affichait un free cash-flow de 62,1 M€ et un flux net de trésorerie de 45,9 M€, composé d’une capacité d’autofinancement en hausse de 8,7 M€, atteignant les 9,3 M€, ainsi que d’une variation du BFR de (54,5) M€. À la même période en 2022, Teract affichait un flux net de trésorerie de 12,4 M€. En outre, le groupe connaît une dette nette de 534,2 M€, dont 332 M€ avec la maison mère InVivo Group et 213,2 M€ issus de passifs de loyer.

Les perspectives à venir

Au vu des résultats du 1^er semestre 2023-2024, Teract poursuit et renforce ses actions prudentes visant à limiter les effets de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat. En parallèle, le continue de déployer ses marques propres en jardinerie, avec pour cible une hausse de leur taux de pénétration de 2 à 3 points à 24% du chiffre d’affaires des magasins intégrés. Plus de 1400 nouvelles marques exclusives devraient également voir le jour au cours de 2024. Enfin, Teract poursuit son développement avec 10 ouvertures prévues en 2024 (dont 3 points de vente qui ont déjà ouvert) et entend faire progresser sa stratégie omnicanale avec le lancement, d’ici le 30 juin 2024, d’une marketplace en partenariat avec Mirakl. Avec le lancement d’un nouveau plan d’économies à la fin du 1er semestre de 2023-2024, l’entreprise prévoit, d’ici le 30 juin 2025, une réduction des coûts de 15 M€ et anticipe un CA annuel consolidé entre 900 et 950 M€.

Devenue, depuis le 15 décembre 2023, une « société à mission », Teract compte atteindre de nombreux objectifs d’ici 2025 :
– 50% des managers devront être issus de la promotion interne ;
– 50% des accidents de travail diminueront par rapport à 2020 ;
– 90% du végétal à marque propre exclusive devra être issu de production française hors serre chaude et 50% des végétaux d’engagements filières ;
– 80% des marques propres exclusives devront avoir un impact positif.

Pour 2030, Teract entend augmenter de 10% les économies en eau par rapport à 2022-2023, labelliser 100% de ses magasins « bien-être animal », valoriser et trier 70% des déchets et réduire de 46% les émissions de GES par rapport à la période 2019-2020.

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