Marque de barbecues et planchas en Europe, Campingaz a mis en lumière, sur les JdC Garden Trends de Marseille, ses nouvelles planchas avec de nombreuses possibilités de cuisson. En parallèle, elle révèle dans une étude que 50% des Français plébiscitent le barbecue pour de nombreuses raisons.
> Par Sabrine Moressa
En 1949, ce qui a commencé avec le « bidon bleu », une petite bouteille de gaz rechargeable et portable à la couleur reconnaissable pour les réchauds et lampes à gaz de camping, est devenu, au fil des décennies, une marque française iconique avec des évolutions produits notables. À titre d’exemple, la première offre de barbecues à gaz en Europe, ou encore, les premières surfaces de cuisson mixte plancha + grille sorties en 1994.
Aujourd’hui, Campingaz dispose de l’offre la plus large en termes de barbecues à gaz et planchas, plébiscitée pour son design, sa qualité, son confort et sa simplicité d’utilisation. Toujours implantée à Saint-Genis-Laval en Auvergne-Rhône-Alpes, Campingaz poursuit le développement de nouveautés. « Cette année, nous arrivons avec une nouvelle gamme de planchas, disponible dès 2025 : Othello, Sigma et Master, avec une segmentation de montée en gamme de 199 € à 580 € TTC, caractérisée en fonction des matériaux utilisés (fonte, inox acier), qui déterminent la durée des garanties et les différentes possibilités de cuisson », lance Edouard Delalande, directeur commercial France Ibérie. Dorénavant, la marque est la seule à proposer de la cuisson indirecte sur ses planchas conçues en France et fabriquées dans son usine en Italie. En parallèle, elle poursuit le développement de sa gamme de planchas Electric, avec la nouvelle 1 XD implantée depuis janvier, au prix public de 249 € TTC.
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Étude : Campingaz révèle que 50% des Français plébiscitent le barbecue
Le barbecue s’impose de plus en plus comme un événement social avec ses propres codes, qui donne lieu à une culture du barbecue à la française. Ainsi, Campingaz a demandé à OpinionWay de mener une étude pour en comprendre le succès. Qui peut notamment s’expliquer par son aspect plus festif, décontracté et social comparé à un repas traditionnel.
Sur 1 018 personnes, 53% déclarent qu’un barbecue est plus festif qu’un repas d’intérieur. Plus de 40 % relatent que l’on peut y inviter plus de monde et qu’il y est plus facile de nouer des contacts.
Pour 80% des sondés, ce type d’événement est plus convivial et décontracté qu’un repas d’intérieur. De plus, l’un des plus grands avantages, selon 77% des interrogés, est qu’il permet d’inviter à la dernière minute. Par ailleurs, 46% des Français réalisent leurs invitations par téléphone et 30% par SMS, sachant que près de 40% les envoient 3 jours avant. « Face au repas d’intérieur, le BBQ possède une sociabilité plus primale avec une pulsion expressive et un partage d’authenticité qui n’aurait pas cours lors d’autres événements plus fixes et formels comme des dîners ou des déjeuners statiques, qui seraient des moments d’expression par nature plus contrôlés, avec un niveau de communication sociale moindre. Le BBQ s’oppose au monde de la fixité, déclare le sociologue Ronan Chastellier.
L’étude révèle également que le jardin, qui devient une véritable pièce à vivre, joue lui aussi un rôle important dans le succès du barbecue. 64% des Français estiment que cela est dû à l’amélioration de la décoration des jardins et des balcons. « L’esthétisation des jardins renforce la tendance aux évènements d’extérieur, à être dehors. L’envie de verdure et d’un jardin idyllique pour les Français, sert naturellement de cadre aux BBQ », déclare Edouard Delalande.
Même si 89% des sondés déclare regarder la météo avant de faire un barbecue, sa popularité est devenue telle que les individus vont jusqu’à s’émanciper de ses contraintes. Ainsi, ce sont près de 60% des Français qui maintiennent un barbecue même en cas de météo incertaine. Aussi, 54% d’entre eux sont adeptes du barbecue en hiver. « Le phénomène du barbecue doudoune qui traduit un désir de sociabilité de plein air, quelles que soient les intempéries, exprime notamment chez les plus jeunes un désir de transgression des codes, et de réinvention du barbecue quelle que soit la météo », explique Ronan Chastellier.
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