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Le groupe Finadorm publie son premier rapport RSE

Afin de concrétiser son engagement et formaliser son projet RSE baptisé « Fin’Impact » lancé en février 2023, le groupe Finadorm publie son premier rapport RSE et partage ses ambitions à l’horizon 2030. Au sein de celui-ci, il dévoile ses engagements environnementaux et sociétaux, ses objectifs chiffrés, ainsi que sa stratégie prônée par son programme conçu pour être accompagné par l’ensemble de son écosystème. Aujourd’hui, il rassemble 11 filiales couvrant les secteurs de la production de literie, de la distribution de literie, de l’habitat de loisirs, de la petite enfance, pour un total de 1200 salariés et 11 sites de production. En 2022, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 250 millions au sein de ses 200 points de vente.

Ce rapport a pour mission d’accompagner les clients et les collectivités locales dans leurs actions de décarbonation et de respect de la biodiversité. Il démontre que presque l’intégralité des sociétés du groupe ont terminé les démarches de certification ISO 14001. Le premier bilan carbone dévoile que celui-ci a eu en 2022 une empreinte carbone de 65 473 tonnes de CO2e et que l’achat de matières équivaut à 63 000 tonnes de CO2 par an.

Le programme « Fin’Impact » cherche à répondre, dans le cadre de l’évolution des réglementations nationales, européennes, internationales, aux enjeux environnementaux et sociétaux tout en permettant au groupe de continuer à produire et de rester leader sur les différents marchés.

La première saison a permis de mener 3 expérimentations alignées avec l’objectif du groupe pendant 6 mois par 45 représentants des métiers et des territoires du groupe. «Fin’Impact permet à chacun de nous de partager les informations et les données nécessaires et de trouver ensemble les solutions pour nos activités. Notre programme reste orienté vers des réalités concrètes du quotidien ; il anticipe ainsi les évolutions réglementaires et législatives en matière de RSE et permet de chercher, dès maintenant, les solutions business adaptées », explique Jean-Rémy Bergounhe, président du groupe Finadorm.

En tout, le groupe Finadorm propose 6 engagements avec des objectifs bien définis en termes de RSE. Le 1er est de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans la production, avec comme deadline, d’ici 2030, d’augmenter de 40 % la part d’énergie renouvelable dans la consommation des sites de production.

Le 2nd est la réduction de celles qui sont liées à la logistique et à la gestion des flux de Finadorm, pour que 40 % de la flotte de véhicules utilise en 2030 de la technologie hybride, électrique, ou du biocarburant.

Le 3e consiste à intégrer de la circularité et de l’écodesign dans l’ensemble des activités de Finadorm, pour qu’en 2030, la production de déchets ait diminué de 5 % et que l’ensemble de la production utilise 15 % de matériaux recyclés.

Le 4e se pose sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre par les fournisseurs pour qu’en 2024, celle-ci diminue de 10 %.

Le 5e vise à favoriser l’empowerment des salariés, pour qu’en 2030, 15 % des collaborateurs aient suivi une formation dispensée en interne via la « Fin’Académie » afin d’améliorer les compétences, la conscience environnementale et le vivre-ensemble.

Le dernier a pour objectif de stimuler le bien-être dans l’entreprise et d’améliorer l’attractivité du groupe, pour qu’en 2030, 100 % des collaborateurs soient satisfaits. « Nous nous sommes fixés des engagements ambitieux et responsables, et, très concrètement, nous portons de façon volontariste et quotidienne le programme Fin’Impact grâce à nos collaborateurs engagés partout en France », conclut Jean-Rémy Bergounhe

Par La Rédaction

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