Asko a marqué les esprits lors de cet IFA 2025, en présentant ses dernières innovations et en célébrant le 75e anniversaire de sa première machine à laver, fondée par un jeune fermier souhaitant faciliter la vie de sa mère dans les années 1950. Aujourd’hui, la marque scandinave continue de porter ses valeurs fondatrices : durabilité, innovation et design fonctionnel.
À l’occasion du salon berlinois, Asko a dévoilé sa nouvelle génération de machines à laver, construites intégralement en métal selon la technologie Quattro Construction™ 2.0. Cette conception particulière garantit une stabilité parfaite et l’absence de vibration, même lors de l’essorage à 1 600 tours, le tambour n’étant pas accroché au reste de la caisse. « Les machines sont testées pour durer 20 ans. Il s’agit d’un véritable argument commercial que la marque met en avant depuis de nombreuses années », lance Alexandre Klutchko, directeur marketing chez Eberhardt.
L’innovation majeure réside dans la suppression du joint en caoutchouc, remplacé par la technologie Steel Seal™, éliminant ainsi les zones de prolifération bactérienne (95 % de bactérie en moins) et améliorant l’hygiène. « Vrai avantage : le nettoyage du joint et la maintenance à effectuer disparaissent. » Cette solution a d’ailleurs valu à Asko le prix « Sensitive Choice », pour sa contribution à un environnement domestique plus sain.
Les nouveaux modèles, attendus au printemps 2026, intègrent des écrans plus grands avec un affichage simplifié et des commandes repensées pour faciliter l’utilisation. La gamme de sèche-linge, exclusivement équipée de pompes à chaleur, a également été optimisée : il ne faut désormais que 40 minutes pour sécher 4 kg de linge, permettant un cycle complet lavage-séchage en 1h20.
Des gammes d’électroménager repensées
Dans l’univers du lave-vaisselle, Asko fait passer l’ensemble de sa gamme en classe énergétique A. La construction tout métal garantit, encore une fois, une durabilité de 20 ans, tandis que l’ergonomie optimisée offre 10 à 15 % d’espace supplémentaire par rapport à la moyenne du marché. Certains modèles intègrent un dosage automatique avec un réservoir d’un mois d’autonomie et une fonction turbo séchage.
Dans le domaine du froid, la gamme pose libre a été revue avec l’intégration de nouvelles poignées et la technologie KitchenFit, qui permet de placer un produit entre des meubles sans avoir besoin de prévoir de grille d’aération visible. Les appareils intègrent une zone DuraFresh pour conserver automatiquement les aliments à température optimale, ainsi qu’un système intelligent d’adaptation de la température selon les habitudes d’utilisation. Côté cuisson, la gamme de fours a été entièrement revue. Dès l’entrée de gamme avec la collection Essence, les appareils proposent un écran TFT et des programmes automatiques. Quant à eux, les modèles haut de gamme intègrent des écrans tactiles, la possibilité d’enchaîner plusieurs cycles de cuisson et un éclairage à température réglable. De plus, sont intégrés les rails télescopiques, la sonde à viande et 3 grilles ou lèchefrites dans tous les fours. Pour rester fidèle à son ADN, Asko n’a pas omis la partie design. Aussi, la gamme sera déclinée en plusieurs coloris : inox, noir, graphite et black steel.
L’intelligence artificielle au service du quotidien
La marque scandinave a également présenté ses innovations connectées via l’application ConnectLife, intégrant un agent IA et le Dish Designer. « L’intelligence artificielle peut analyser le contenu du réfrigérateur photographié et proposer des recettes adaptées au temps disponible », précise Alexandre Klutchko. Cette technologie communique directement avec les fours, permettant de programmer les cycles de cuisson depuis un smartphone. Un assistant vocal complète l’offre.